Cela la démangeait depuis un bout de temps.
Elle remuait la tête devant la cohue dans les rues d’ABOBO gare, puis murmurait, comme une sourde complainte.
C’est que de la fenêtre de ce gbaka* en partance pour ADJAMÉ, nous étions en bonne place pour suivre la débandade devant les pelleteuses : ABOBO gare subissait une énième tentative de déguerpissement.

Les vendeurs de yougou-yougou* couraient, baluchons sur la tête avec ce qu’ils avaient pu sauver. Lire la suite